Chemin D petite boutique

La petite boutique sans fenêtre ne comporte aucun nom ou indication qui permettrait de savoir ce qu`il y a à l`intérieur. Cependant sur la porte, un symbole est gravé :
Dans la petite boutique, un viel homme voûté avec une barbichette de chèvre faisait les cent pas. Autour de lui des centaines de pots, bocaux, fioles et autres contenants emplissaient les étagères.
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Ulrik entra dans le commerce en se grattant la tête. cela fessait presque deux heure qu'il marchais sur le chemin D a la recherche d'un objet bien précis et il commençais a en avoir marre de marcher au milieu de la foule. Ce n'étais pas la foule qui le dérangeais en réalité, c'étais surtout d'être toujours sur ses gardes pour que personne ne voient son museau ou ses griffes. Levant enfin les yeux pour contempler les étalages de potions il se dit qu'il était enfin au bon endroit.Il allais enfin pouvoir en finir avec ces satanée bestioles. Tout en se grattant l'épaule, il se tourna vers le vieil. Son capuchon lui bloquant a moitié la vu et la tête baisée il s'adressa a lui sur un ton guttural.

Vieil homme,j'aurais besoin de votre aide. Mon heum... chien ,voyez vous, a attrapé de vilaines bestioles. Il se gratte sans cesse il en souffre beaucoup. Auriez vous parmi vos flacons un remède quelconque pour le soigner? je N'ai pas beaucoup d'argent mais je présume que faire toutes ces potions nécessite une grande quantités d'ingrédients. Je suis vif et j'ai l'œil aiguisé nous pourrions conclure un marché? je n'ai pas l'habitude de faire le mendiant mais c'est la seule solution qu'il me reste. Sinon je vais devenir fou. heum! Mon chien va devenir fou!

Le marchand leva un sourcil. Il n`était pas dupe mais il n`était pas raciste. Devant un si belle et rare occasion il ne puis que dire :
«Vient là jeune homme ! j`ai quelque chose pour ... e... ton chien.»

Pendant que le vieux marchand fouillait activement dans une étagère de plus d`un mètre de profondeur, un phénomène étrange se fit remarquer au fond de la pièce.


Une plume retranscrivait un livre tout seule.

tout en se rapprochant du vieillard, Ulrik ne pu s'empêcher de regarder le livre. étant d'une nature poli mais d'une curiosité légendaire il ne pu que demander :

Puis-je?

malheureusement bien avant que l'homme puisse répondre,Ulrik était déjà en train d'observer le phénomène. Il était tellement absorbé par cette analyse qu'il perdis pour un temps sa méfiance envers le vieil homme. il ne le remarqua même pas quand son capuchon glissa pour laisser entrevoir un belle fourrure blanche écarlate.

Ulrik entendit soudain un bruit de ciseaux qui se refermaient près de sont oreille. Il se retourna brusquement pour constater que le vieux marchand s`était glisser derrière lui et lui avait couper une mèche de poile. Comme si c`était parfaitement naturelle, il mis la mèche dans un bocal, le referma et déclara:
« Comme payement sa ira! »
Ensuite il lenca un chapeau rouge et vert avec des clochettes à Ulrik.

« Sa devrais le faire.»

Ulrik regarda le vieillard d'un air ahuri. il lui répondit d'ailleurs un peu a vif :

un chapeau ? que voulez vous que j'en fasse? et d'ailleurs? pourquoi avez vous pris une mèche de mon pelage?

il attendit un peu pour se calmer tout en se grattant la tête puis dit d'un ton plus calme :

merci, de ne pas avoir passé de commentaire désobligent sur mon apparence vous êtes bien la première personne a portigar a être courtois avec moi. bon revenons en a nos moutons, je suis de nature très curieuse et j'aimerais savoir, si ce n'est pas trop demander, comment fonctionne ces merveilleux objets.

Il pointa du doigt le chapeau, puis le livre.

C`est seulement à ce moment que le marchand remarqua la plume. Il prononça les mots:
«finirai incantatoume»
La plume s`enflamma et finit en cendre.
Il regarda Ulrik.
« Quel objet ? Ha oui le chapeau. Vous n`avez qu`a le mettre. Si je me fie à celui à qui je l`ai v... acheter, il éloigne les tiques, les puces et les belles-mères. »

ayant préalablement mémoriser ce que la plume écrivais dans le livre Ulrik regarda le marchand. il n'avais rien a perdre et ces puces le démangeais trop.d'ailleurs cet objet n'avais pas l'air maléfique. il le mis.

Erza rentra dans la boutique et elle vit un homme qui ressemblait étrangement à un loup, avec un chapeau étrange. Pensant que c'était un loup-garou, elle sortit son épée pour se défendre.
Elle demanda :
« Qui êtes-vous et que faites vous ici?»
Elle regarda ensuite le marchand
« Toi, tu ne bouges pas!»

Ulrik regarda la jeune femme d'un air mécontent, il avais pris tant de précaution jusqu’à présent pour que son identités ne soit pas découverte et voila que tout ces efforts était réduit a néant dans cette boutique... il allais devoir partir bientôt de cette ville car la nouvelle de bête effroyable rodant la nuit allais encore se répandre comme une trainée de poudre. Il avais déjà eu l'expérience avec plusieurs village de griffon, les hommes c'étaient levés avec des torche et des fourche pour le poursuivre. Sortant de ses pensée il déclara:

« savez-vous que c'est très impoli de menacer les gens avec une épée, vous pourriez blesser quelqu'un. Pour répondre a votre question je me prénomme Ulrik et j'avais besoin de l'expertise de cet homme pour un problème de nature personnel.»

Il s'approcha alors d'elle avec un air qui se voulais sur de lui. (l'effet aurait surement réussis si il n'aurais eu le chapeau sur la tête, il eu simplement l'air stupide.)en face d'elle il lui tendit la patte tout en la gratifiant de son plus beau sourire.

«Je vous retourne la chandelle, qui êtes vous et que venez vous faire ici? et baisser votre arme je n'ai rien contre vous qui puisse m'encourager a vous attaquer. »

Erza ne savait pas si elle devait lui faire confiance ou non. On lui avait toujours apprit de ce méfier. Par contre, elle se dit qu'il n'avait pas l'air de quelqu'un qui lui voulait du mal. Erza rangea son épée avec précaution. Elle lui tendit la main à son tour.
« Je me nomme Erza, je suis venu ici pour.... zut... je ne me rappelle pu de ce qu'il voulait...»
Elle se chuchota à elle même : « Il va être super fâcher....»

« J'étais ici pour venir chercher une potion pour mon capitaine. Je travaille pour la STMP. Je ne vous veut aucun mal, j'ai cru que vous étiez un loup-garou qui ne contrôlait pas vos actes. J'en suis sincèrement désolé»

Ayant tout entendu, Ulrik lui pris la main tout en essayant de ne pas pouffer de rire devant cette jeune femme si tête en l'air.

« j'accepte vos excuses milady. je comprends parfaitement votre réaction, moi aussi, si je serait tombé face a face avec un être aussi terrifiant que moi j'aurais eu la même réaction. »

Ulrik ne pu s’empêcher de relâcher un rire clair et franc.

« Et pour votre information madame, il fait un peu trop ... soleil pour qu'un loup-garou se montre le bout du museau. il faut une pleine lune de préférence. »

Ulrik, mélancolique commença a fredonner en regardant vers le ciel.

Douce Lune,
Lumière d'hiver
source d’infortune
pour les loups d'mer
quand tu est pleine
les loups dansent
glorifiant la reine
d'une certaine obédience
au bout de la nuit la bête sera calmée
au bout de la nuit le sang aura coulé
au bout de la nuit le sang aura séché
mois après mois le sang couleras.
tant que la lune vivra

Ulrik se tut.

Le Vieux Marchand leva un sourcil d`indifférence devant tant de poésie. Il eu ensuite une sueur froide de réaliser qu`un soldat de la STMP était dans son magasin. Il savait très bien que la moitié de ce qu`il vendait était illégale à Portigar. Son regard tourna vers le rat zombie qui tournait en rond dans un bocal au fond d`une étagère. Puis vers la poupée vodou qui trainait sur un étagère. Heureusement personne ne les avait remarqué.



Il savait très bien que d`habitude, un seul Capitaine de la STMP osait s`aventurer dans le chemin D. Aussi il regarda le calendrier graver à même le bois de son comptoir. Une pierre grise en forme de tête de mort était déposée en date d`il y a 2 jours. Il leva les yeux vers la guerrière et dit :

«C`est Capitaine Nelsi qui vous envoie? D`habitude il vient en personne pour chercher... enfin... vous savez. Ou peut-être pas. Bon ne toucher à rien je vais le chercher.»

Le vieux marchand disparue entre les multiple étagères.

Au fond du magasin le veille homme marmonnait
« Ce pauvre idiot de Nelsi, il vas mourir si il ne fait pas attention. Ce n`est pas qu`une vulgaire infection qui le touche. Et lui il délaisse son traitement. Idiot!»

ayant tout entendu Ulrik decida d'aller voir en arrière boutique.

«Quel genre d'infection, cela est-il soignable, puis-je faire quelque chose pour lui... j'ai l'impression d'etre capable de tout faire en ce moment et je ne sais pas pourquoi... vous avez été si bon avec moi, si je peut me permmetre de vous rentre ce service.»

Erza se retrouva toute seule en avant de la boutique. Elle en profita pour examiner un peu. Ce n'était pas très grand et il n'avait pas beaucoup d'éclairage.

Au même moment, Ulrik constata que tout les bocaux qui l`entouraient était phosphorescent. La plus part contenaient un liquide gélatineux qui produisait un faible lumière verdâtre, mais certains contenaient des araignées tout aussi phosphorescent. Ulrik senti comme une force le pousser à ouvrir le bocal. Il était sur le point de libérer une araignée quand une dague lui frôla la main et alla se planté dans l`étagère.

-Échec du jet de précision de lancer-

Le marchand l`avant manqué de peu. Il se leva avec une petite fiole dans la main.

« Sachez que le venin de ces araignées est mortel.»

Il se dirigea vers l`avant de la boutique pour remettre à Erza la fiole qu`elle attendait.
Pendent se temps, Ulrik était seul dans l`arrière boutique. Près de lui était planté la dague, luisante d`un métal bleuté.

Ulrik n'étais ,ni méchant, ni malicieux. Pourtant il ne pu qu'être choqué de la manière dont le marchand s'en était pris pour l’empêcher d'ouvrir le bocal. il se sentais invincible, quoi donc aurais bien pu lui arriver ? il arracha la dague de l'étagère tout en se disant que ce commerçant étais plus louche qu'il n'y paraissait. il regarda ensuite le petit bocal renfermant l’araignée, elle illuminais le visage du ferial d'une lumière rougeâtre. après maintes observations il entendit un bruit a l'avant du magasin, il y retourna donc perdu dans ces pensée avec, dans ces poches, deux objets qu'il avais complétement oublié.

Erza commençait a trouver ça long d'attendre, mais quelques minutes plus tard, elle vit le marchand arriver avec la potion. Elle l'a prit en disant un merci, et elle partit vite en lui disant que son capitaine viendrait le payer plus tard.

N'ayant plus rien d'autre a faire Ulrik décida lui aussi de s'en aller.

dit il sans se retourner.

il remis donc sa capuche et continua son chemin pour retourner chez lui. soudainement il aperçu l'elfe qu'il venais tout juste de rencontrer un peu plus loin sur le chemin. il se disait que c'était un drôle de personnage quand tout a coup il vit quelqu'un lui dérober sa bourse sans qu'elle s'en aperçoivent. En deux temps trois mouvement il était déja par dessu cet homme et reprenais la bourse.

Erza se dirigeais vers le port, mais elle entendit du bruit derrière elle. Elle se retourna et vit l'homme qu'elle avait rencontrer plus tôt sauter sur un homme.
« Mais qu'est que tu fais! Tu ne dois pas attaquer les gens de la ville. Je ne veux pas devoir t'attaquer, lui dit-elle tristement »

Ulrik la regarda perplexe pendant un moment. se rendant finalement compte qu'il venais d'aider l'elfe il réagit enfin.

< Je fais ce que je veut ...> grommela-t-il.

Il se retourna alors dans la direction opposée a l'elfe et parti tout en lui lançant sa bourse.

Erza s'approcha du voleur mécontente.
Elle le prit par le collet et le leva de terre.
« Tu recommence ça et je te coupe la main! Soit chanceux d'être tomber sur moi, car d'autre ça aurait pu être pire, maintenant file et que je te revois pu!» lui dit-elle d'un ton sec.
Elle le lança par terre, et il prit ses jambes a son coup.
Ensuite, elle prit la direction que Ulrik avait prit pour essayer de le retrouver et de s'excuser.

ulrik sentis la jeune elfe le suivre, il se dit qu'il ne devais pas trop s'attacher a des gens autours de lui alors il ne se retourna pas ... tout en marchant il se rendis compte que cela lui fendait le cœur. Il était sur le point de s'en aller en courant quand il entendit au loin:

< Regarde c'est elle l'elfe qui m'a menacer, venez on va aller lui donner une leçon qu'elle n’oublieras pas de si tôt. Personne ne menace un d'entre nous, on fait quand meme pars d'une des plus grande troupes de bandits de portigar ! >

Ulrik se retourna et vis 5 hommes se diriger vers l'elfe.
étangement la cadance de son pas rallentis, puis il se retourna, la haine dans les yeux.

Erza sortit son épée, elle allait devoir mener un combat féroce, car il était nombreux à s'approcher.
Elle devait trouver une solution pour ne pas les affronter tous en même temps. Sachant qu'elle était à Portigar, elle savait que ses coéquipiers ne tarderait pas à la rejoindre quand il en entendrait parler, mais jusque là, elle devait se débrouiller toute seule pour donner une bonne racler à cette gang de bandit.

« Approcher, je vous attend. C'est tout de même lâche de ce battre à plusieurs contre une seule personne, est-ce que vous avez peur?»